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    Cartouche Kung Fu Flash

    Je vous propose un presenting de la fameuse cartouche KUNG-FU FLASH pour C64, un récent projet open source qui ne cesse d’évoluer au fil des mois !

    Cette cartouche permet de lancer des fichiers CRT, D64, PRG etc depuis un vrai COMMODORE 64. Il suffit juste d’enregistrer vos fichiers dans une carte micro-sd.

    Aspect externe
    Menu
    Circuit Imprimé

    Cartouches Supportées

    Les formats de cartouches supportées sont:

    • Cartouches normales (8k, 16k, Ultimax)
    • Action Replay v4.x/v5/v6
    • KCS Power Cartridge
    • Final Cartridge III(+)
    • Simons’ BASIC
    • Fun Play, Power Play
    • Ocean type 1
    • Epyx Fastload
    • C64 Game System, System 3
    • Dinamic
    • Zaxxon, Super Zaxxon
    • Magic Desk, Domark, HES Australia
    • Super Snapshot v5
    • Comal-80
    • EasyFlash

    Types de fichiers supportés

    Types de fichiers actuellement supportés:

    • Cartridge (CRT)
    • Disk image (D64, D71, D81)
    • Program (PRG, P00)
    • Firmware update (UPD)

    Page du Project GitHub : https://github.com/KimJorgensen/KungFuFlash

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    Le Commodore 64c

    Voici ma dernière aquisition pour ma colection… 🙂

    C’est le Commodore 64c, une version du célèbre micro-ordinateur C64 sortie en 1986. C’est une version « low-Cost » pour réduire le prix de vente de moitié. Peu vendu en France mais très bien vendu en Allemagne, il a même été vendu dans la chaine de supermarchés allemands ALDI comme console de jeux…C’est quand-même une version améliorée du design originel du c64, avec des nouveaux composants moins gourmands en énergie et aussi avec des versions déboguées de ceux-ci. La compatibilité  logiciel et hardware est garantie à 100% avec le c64 de 1ere génération.

    Voici un rappel des caractéristiques techniques du micro-ordinateur :

    • Le Commodore 64 utilise un microprocesseur 8 bits 6510 (un dérivé proche du 6502 qui a la possibilité de gérer des banques de mémoires en les amenant à la demande dans l’espace d’adressage du processeur) et dispose de 64 kilooctets de mémoire vive. Au Royaume-Uni, il a rivalisé en popularité avec le ZX Spectrum et a tiré bénéfice d’un clavier de taille normale et de puces graphiques et son plus avancées. La puce graphique, VIC-II (en), fournit 16 couleurs, huit sprites, des capacités de défilement (scrolling), et deux modes graphiques bitmap. Le mode texte standard fournit 40 colonnes, comme la plupart des modèles PET de Commodore. La puce sonore, SID, a trois voix, plusieurs formes d’ondes, modulations sonores et capacités de filtrage. Elle est très avancée pour son époque. Son concepteur, Bob Yannes, sera le cofondateur de la société de synthétiseur Ensoniq. Le BASIC incorporé n’offre pas un moyen facile d’accéder aux capacités graphiques et sonores avancées de la machine ; les utilisateurs doivent donc utiliser les commandes PEEK et POKE pour adresser directement la mémoire afin d’obtenir le résultat escompté, ou alors utiliser des extensions comme Simon’s BASIC, ou encore programmer directement en assembleur. Commodore avait une meilleure implémentation du BASIC, mais choisit finalement de vendre le C64 avec le même BASIC 2.0 utilisé dans le VIC-20 de peur que le C64 ne fasse chuter les ventes du PET/CBM. Le C64 hérite des machines CBM et du VIC-20 un port utilisateur programmable (6522) et un port série propriétaire fonctionnant sur un principe proche de l’IEEE-488 et permettant de brancher (et d’adresser) des périphériques, en particulier une ou plusieurs unités de mono-disquettes de 5,25 pouces 1540 (lecteur de disquette du VIC-20), 1541 et 1542. Avec cet ordinateur est (probablement) apparue une culture underground informatique connue sous le nom de scène démo.
    • Processeur MOS Technology 6510 cadencé à 0,985 MHz (PAL) / 1,023 MHz (NTSC)
      • 64 Ko de Mémoire vive (38 Ko disponible pour les programmes BASIC par défaut ; 2 Ko de mémoire vidéo de caractère) ou 320 Ko (avec Commodore 1764 256 Ko) avec l’Unité d’extension mémoire, cependant, seulement 64 Ko sont directement accessibles, l’unité destinée principalement à GEOS)
      • 20 Ko de ROM (8 Ko BASIC 2.0, 8 Ko Noyau, 4 Ko de caractères générés, produisant deux ensembles de 2000 caractères)
    • Puce graphique VIC-II MOS 6567/8567 (NTSC) MOS 6569/8569 (PAL)
    • Modes « texte » :

    -40×25 caractères de 8×8 pixels 2 couleurs chacun parmi 16.
    -40×25 demi-résolution caractères de 4×8 pixels 4 couleurs chacun parmi 16 (39×24 en mode scrolling).
    Le mode texte bénéficie du scrolling hard pixel par pixel.
    La grande majorité des jeux type arcade redéfinissaient les caractères pour en faire l’équivalent des « tuiles » des consoles. Avec les sprites hard, on s’approche grandement des techniques utilisé par les consoles 8 bits type NES et SMS.

    • Modes « graphiques » bitmap :

    en 320×200 chaque bloc de 8*8 peut avoir 2 couleurs parmi les 16 (mode graphique notamment utilisé pour les jeux 3D fil de fer, par exemple Elite)
    en 160×200 chaque bloc de 4*8 peut avoir 4 couleurs parmi les 16.
    les 16 couleurs sont noir, blanc, rouge, cyan, violet, vert, bleu, jaune, orange, marron, rouge clair, gris foncé, gris moyen, vert clair, bleu clair, vert clair

    Puce sonore SID MOS Technology 6581/8580 (Son)

    • Son : 3 voix ADSR-programmable sur 9 octaves
    La connectique arrère du c64x, compatible à 100% avec le c64
    Les deux ports joystick, embase d’alimentation et l’interrupteur M/A
    La carte mère…
    Le lecteur de cassette pour charger les logiciels dans ce format
    Lecteur de disquettes 5.25″ Commodore 1541-II
    Une cartouche à inserrer dans le port cartouche pour un chargement instantané du logiciel.
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    The C64 Full size.

    Très bonne réplique du commodore 64.

    Mis à côté d’un vrai C64 le boitier est presque identique…
    Même la boite carton est similaire à l’original ! Manque peut-ètre le manuel complet d’utilisation, il existe, mais il faut l’acheter à part.

    La manette est bonne à jeter, c’est une pâle imitation de la Competition Pro 5000.
    Les micro-switch des boutons ne répondent pas toujours et la manette n’est pas précise.
    A remplacer par une manette de type PS4 en filaire.

    Le clavier est très bon, avec 4 ports USB, une sortie HDMI, une alimentation externe est fournie.
    Il y a un guide d’utilisation court en plusieurs langues.
    Il faut télécharger le guide complet (mais en anglais) sur le site officiel.
    Le son est bien rendu sur la plupart des jeux.
    L’image est nette et les scrollings sont « presque » fluides (rien ne vaut un C64 avec un écran cathodique).
    L’émulation est très bonne ; j’ai même réussi à faire tourner Skyfox II.
    La sélection des jeux est discutable. Mais on peut ajouter des jeux sur une clé USB (formatée en FAT 32).
    Avec un ordinateur, il faudra configurer les jeux (en mettant des flags sur le nom du fichier ou en créant un fichier texte correspondant).
    Compatible avec les formats suivants : .PRG .TAP .CRT .P00 .D64 .D81 .D82 .G64
    Tout est expliqué dans le guide complet.


    Le joystick est de bien meilleur qualité que celui de la version c64 mini.
    Pour moi ça été un plaisir de taper quelques lignes de langage BASIC dessus! . .
    Côté émulation ça tourne avec un émulateur sous Linux. C’est le cas de toutes les versions « mini » existantes. C’est moins cher à produire qu’une émulation par FPGA, celle-ci plus fidèle et précisse.

    Comparaison avec un vrai Commodore 64
    Comparaison des boites en carton